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Expositions

En cours

Marie Dorigny

Du 18 avril au 18 mai 2024

Vernissage le 18 avril 2024 de 18h à 21h

DES VIES TRAVERSÉES

Après une première carrière de rédactrice,  Marie Dorigny rejoint le monde de la photographie en décembre 1989, à l’occasion de la révolution roumaine.

Ses reportages sur le travail des enfants, les formes contemporaines d’esclavage ou la condition des femmes dans les pays en voie de développement ont depuis été publiés dans la plupart des journaux et magazines de la presse internationale.

Son dernier travail en date, « Displaced, femmes en exil », un reportage sur les femmes réfugiées, a été réalisé en 2016 pour le Parlement Européen.

Marie Dorigny a été exposée à maintes reprises ces dernières années, que ce soit à Visa pour l’Image, la Maison Européenne de la Photographie ou encore au Parlementarium de Bruxelles.

Trois monographies présentent également son travail photographique : « Enfants de l’ombre » aux Editions Marval (1993), « Cachemire, le paradis oublié » aux Editions du Chêne (2004) et enfin, « L’inde invisible » aux Editions CDP (2008).

Les photos ici présentées ont toutes été prises entre 1991 et 2016. Elles sont extraites de reportages, réalisés dans des pays aussi différents que l’Inde, le Népal, le Cambodge, le Guatemala, le Mozambique ou enfin la Grèce, qui racontent la guerre, l’exil, les violences contre les femmes ou encore le vol des terres des petits paysans.

Chaque fois, de ces vies traversées, perdure le souvenir d’une rencontre plus particulière, d’un instant suspendu de douceur, de poésie, de beauté. Ces quelques images en sont la mémoire.

À venir

LiLiROZE

Du 23 mai au 29 juin 2024

Vernissage le 23 mai 2024 de 18h à 21h

JARDINS SECRETS

Une odyssée intime, qui sonne comme une ode au temps long et au lâcher prise. 

Temps de l’enfance, temps qui passe, refuge des souvenirs heureux et de la mémoire sensible.

Entre illusions et poésie, une traversée de moments indécis et suspendus, aux antipodes des instants décisifs.

“Ici les enfants sont des oiseaux, avant que la vie n’abîme leurs ailes.

Ici les pivoines et je jasmin donnent à la nuit un parfum d’éternité.

Les sirènes glissent entre les fougères, dans l’eau claire des rivières et les arbres sont des phares.

A l’aube, la brume s’invite et s’étend, le long des pianos désaccordés, quand le silence devient musique.

Entre les herbes hautes serpentent des sentiers invisibles et on entend chanter les grenouilles dans la fraîcheur du soir.

Ici la pluie redessine les paysages, l’herbe est toujours douce sous les pieds nus et l’été, on danse sous les orages.

Ici le temps ralentit et le ciel est plus grand, pour faire de la place aux rêves”.

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